Après le Sénat, l'Assemblée nationale a adopté à son tour dans la nuit de mardi à mercredi la révision constitutionnelle réformant le corps électoral...
Les violences se poursuivent en Nouvelle-Calédonie, alors que la réforme constitutionnelle décriée par les indépendantistes poursuit son chemin ce mardi à l'Assemblée nationale. Si le gouvernement insiste pour que le texte ne soit pas immédiatement mis au vote, le politologue Sémir Al Wardi estime que l'État se dirigie vers l'affrontement. "L'État va vers cette radicalisation en imposant le dégel alors qu'une grande partie de la communauté calédonienne - c'est-à-dire essentiellement les kanaks - sont contre" , souligne-t-il.