Une cinquantaine d’agents et bénévoles ont ratissé une large zone allant de la pointe Vénus jusqu’au trou du souffleur. Les services de sécurité qui ont dû réorganiser leurs opérations suite aux intempéries seront à pied d’œuvre jusqu’à demain dimanche date officielle de la fin des recherches.
« Les berges deviennent très glissantes. Il y a du courant dans la rivière, dans la vallée. Pour éviter un nouveau drame, on a déplacé le dispositif de recherches. On se concentre sur les nouvelles étapes que sont la mer et le littoral. Depuis le début des recherches, on sillone plusieurs fois par jour la vallée, à pied, avec des nageurs… donc la probabilité de retrouver un corps dans la vallée est infime. Par contre, il faut qu’on continue nos recherches en élargissant sur la partie maritime avec toute la complexité que ça engendre, parce que l’étendue est nettement plus grande, avec la probabilité qu’on ne retrouve pas les corps » a déclaré le lieutenant de vaisseau Alexandre Debiais, coordinateur des opérations auprès de la Direction à la protection civile.