Dans un communiqué, la mairie de Pirae a réagi ce vendredi. « Cet état de fait, laissé sans solution de fond sous la gestion passée de Madame Béatrice Vernaudon, a néanmoins emporté, à la charge même de l’exploitant, des prescriptions additionnelles de sécurité et des restrictions d’usage d’une partie du site, faisant reculer l’existence de risques majeurs imminents qui auraient pu justifier la fermeture anticipée des installations en cause », explique la commune d’Edouard Fritch.
« Il n’en demeure pas moins que le maire de Pirae, très préoccupé par cette situation, a déjà eu à évoquer devant le conseil municipal le fait que le maintien de l’exploitation de cet équipement au delà du 31 décembre 2014, date normale d’échéance de la convention d’amodiation en cours, resterait assujetti avant tout à l’existence de conditions optimales de sécurité de long terme ». Le site pourrait donc être « fermé » et démoli.
« Il n’en demeure pas moins que le maire de Pirae, très préoccupé par cette situation, a déjà eu à évoquer devant le conseil municipal le fait que le maintien de l’exploitation de cet équipement au delà du 31 décembre 2014, date normale d’échéance de la convention d’amodiation en cours, resterait assujetti avant tout à l’existence de conditions optimales de sécurité de long terme ». Le site pourrait donc être « fermé » et démoli.
Un conseil municipal a été programmé le 12 février prochain. L’occasion d’évoquer « le sort définitif de ce dossier ». « Dans
l’intervalle, aucune manifestation ne sera plus autorisée », annonce la commune.
Le communiqué de la commune de Pirae est à consulter ici :