Comme chez leurs homologues masculins, les femmes ont affiché un bon niveau avec la participation de Tahia Ischer, qui vit en Australie et qui depuis l’an dernier est classée à l’international. « C’est un sport très actif. Tu dois beaucoup courir, mais c’est fun. Quand tu joues, il faut beaucoup communiquer avec son partenaire. » explique t-elle.
Une discipline très physique puisqu’il faut courir sur le sable et qu’il n’y a pas de rebonds possibles. Ajouté à cela le sable chaud qui oblige certains athlètes à jouer avec des chaussettes. « Pour jouer, j’ai du enfiler trois paires de chaussettes. » confie en s’esclaffant Tahia Ischer.
Un enjeu de taille pour ce tournoi : il permet aux meilleurs joueurs de gagner des points pour évoluer dans le ranking. Un gain qui ameute des joueurs de différents profils et notamment des sports de raquettes. « On est labellisés au niveau international, c’est à dire que les demis finalistes et les finalistes vont marquer des points pour le classement international. » assure Yankell Clavery du Comité organisateur.
Les finales qui n’ont pu se jouer à l’heure prévue, ont été reportées au week-end prochain sur le terrain de beach soccer à Tipaerui. Au programme des finales: chez les féminines, le duo Laetitia Clavery et Béatrice Cousinet affrontera Fany Carité et Taihara Taerea. Chez les hommes, la paire Yankel Clavery / Maximes Buatois sera opposée à Philippe Raudrant et Nicolas Carité.