L’annonce de son départ, révellé par Tahiti Pacifique, avait fait l’effet d’une bombe en décembre dernier. Les employés de la banque au uru ont manifesté leur soutien par un débrayage. Il étaient 400 à l’entrée du conseil d’administration de l’établissement pour applaudir James Estall.
Le vice-président Nuihau Laurey avait expliqué cette décision « motivée par l’importance de donner une nouvelle impulsion à l’établissement dans un contexte de reprise économique qu’il convient d’accompagner, notamment dans le logement et le développement touristique, secteurs clés de l’économie polynésienne, dans lesquels la Socredo possède une solide expérience ».