Ils ont un sentiment d’incompréhension et ne se sentent pas écoutés : c’est ce qu’expliquent les membres du STIP/AEP-UNSA, qui avaient déposer le 18 novembre un préavis de grève, pour les écoles publiques du 1er degré. Au cœur des revendications du syndicat des enseignants : la répartition des heures dévolues aux activités éducatives et culturelles, ainsi qu’à la formation. Ils pointent également du doigt les conclusions des « Assises de l’école de demain, » présentées fin octobre.
Le syndicat espère la mise en place d’un dialogue. En attendant, leur courrier étant toujours sans réponse de la ministre de l’Éducation, la grève sera effective à compter de ce jeudi 24 novembre. Une marche est suivie d’un seating à Papeete est prévue.