Bon nombre de nos internautes comme Pounette Faatoa et Teumere Atger incitent les Polynésiens à dénoncer les trafiquants et les consommateurs d’Ice auprès des autorités, et pourquoi pas rémunérer ceux qui dénoncent pour inciter un maximum de personne à le faire.
De son coté, Steven Loussan souhaiterait des sanctions pénales proches de celles pratiquées aux Etats Unis. Notre journaliste Sam Teinaore a fait des projections, et il en ressort que si les personnes qui ont été condamnées l’année passée pour trafic d’Ice au fenua avaient été jugées aux Etats Unis, elles auraient toutes été condamnées à perpétuité.
Mais la mesure la plus réaliste est celle de Kimo Overstims qui parle plutôt d’informer et d’éduquer la population et notamment les plus jeunes aux méfaits de l’Ice. Lui aussi incite les internautes à dénoncer les trafiquants.
Une démarche déjà entamée par beaucoup de Polynésiens car la majorité des grosses affaires de trafic d’ice de ces dernières années ont été démantelées grâce à des dénonciations. Le labo de fabrication d’ice de la presqu’île par exemple a été découvert suite à une dénonciation. Ces dénonciations facilitent le travail des policiers, gendarmes, douaniers et enquêteurs. Il est à noter que les informateurs ne sont pas rémunérées, ils ont simplement fait leur devoir de citoyen.
L’année 2018 a été riche en procédures qui ont conduit à près de 130 gardes à vues, mises en examen et condamnations. Certains dossiers seront jugés dans les jours à venir, d’autres d’ici la fin de l’année. La lutte contre le trafic d’ice est une priorité de la justice en Polynésie.
De son coté, Steven Loussan souhaiterait des sanctions pénales proches de celles pratiquées aux Etats Unis. Notre journaliste Sam Teinaore a fait des projections, et il en ressort que si les personnes qui ont été condamnées l’année passée pour trafic d’Ice au fenua avaient été jugées aux Etats Unis, elles auraient toutes été condamnées à perpétuité.
Mais la mesure la plus réaliste est celle de Kimo Overstims qui parle plutôt d’informer et d’éduquer la population et notamment les plus jeunes aux méfaits de l’Ice. Lui aussi incite les internautes à dénoncer les trafiquants.
Une démarche déjà entamée par beaucoup de Polynésiens car la majorité des grosses affaires de trafic d’ice de ces dernières années ont été démantelées grâce à des dénonciations. Le labo de fabrication d’ice de la presqu’île par exemple a été découvert suite à une dénonciation. Ces dénonciations facilitent le travail des policiers, gendarmes, douaniers et enquêteurs. Il est à noter que les informateurs ne sont pas rémunérées, ils ont simplement fait leur devoir de citoyen.
L’année 2018 a été riche en procédures qui ont conduit à près de 130 gardes à vues, mises en examen et condamnations. Certains dossiers seront jugés dans les jours à venir, d’autres d’ici la fin de l’année. La lutte contre le trafic d’ice est une priorité de la justice en Polynésie.