Ces jeunes enquêteurs utiliseront un questionnaire, le « Mini ». Un outil qui permet de garder l’anonymat des personnes interrogées. Les enquêteurs ont appris à s’en servir ce lundi à travers des jeux de rôles.
Cette étude sur la santé mentale en Polynésie, est la 3ème phase d’une enquête plus large réalisée en France. 3400 personnes ont déjà interrogées dans les DOM. La population de Tonga est la prochaine sur la liste.
L’enquête se termine à la fin du mois mais il faudra attendre 6 mois de plus pour en connaître les résultats. Des données qui serviront aussi à mieux évaluer le risque suicidaire en Polynésie.