Jusqu’au 22 mars, l’ensemble des professionnels locaux et les tours-opérateurs extérieurs soit 10 pays, seront réunis à la Présidence pour une nouvelle édition de Parau Parau Tahiti. Paul Sloan, directeur général du GIE Tahiti Tourisme, était notre invité du journal pour en parler.
En quoi ces activités comme la plongée vont convaincre les tours-opérateurs de commercialiser notre destination ?
« Parau Parau Tahiti est un événement qui a été lancé par Tahiti Tourisme en 2018 qui a pour but de mettre en relation les professionnels de l’industrie du tourisme local avec les tours-opérateurs internationaux. Et c’est une opportunité pour tous les professionnels afin qu’ils rencontrent les tours-opérateurs qui vendent la destination. Les tours-opérateurs ne sont pas des agences de voyage, ce sont comme des grossistes. Ils construisent le voyage que les agences vont vendre. »
(…)
La plongée n’est pas la seule activité que vous proposez .. Où est la place de la culture par exemple ?
« On a plus de 60 tours-opérateurs qui viennent de partout dans le monde, et on a presque 80 professionnels locaux dont une trentaine propose des activités touristiques : les activités nautiques, les activités terrestres, culturelles et aériennes. (…) Parau Parau Tahiti est une opportunité pour les professionnels locaux parce qu’ils n’ont pas tous les moyens pour voyager et rencontre les tours-opérateurs dans leur pays. »
En quoi ces activités comme la plongée vont convaincre les tours-opérateurs de commercialiser notre destination ?
« Parau Parau Tahiti est un événement qui a été lancé par Tahiti Tourisme en 2018 qui a pour but de mettre en relation les professionnels de l’industrie du tourisme local avec les tours-opérateurs internationaux. Et c’est une opportunité pour tous les professionnels afin qu’ils rencontrent les tours-opérateurs qui vendent la destination. Les tours-opérateurs ne sont pas des agences de voyage, ce sont comme des grossistes. Ils construisent le voyage que les agences vont vendre. »
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La plongée n’est pas la seule activité que vous proposez .. Où est la place de la culture par exemple ?
« On a plus de 60 tours-opérateurs qui viennent de partout dans le monde, et on a presque 80 professionnels locaux dont une trentaine propose des activités touristiques : les activités nautiques, les activités terrestres, culturelles et aériennes. (…) Parau Parau Tahiti est une opportunité pour les professionnels locaux parce qu’ils n’ont pas tous les moyens pour voyager et rencontre les tours-opérateurs dans leur pays. »
Ces professionnels locaux vont rencontrer ces tours-opérateurs lors d’un speed-dating et ils auront 15 minutes pour les convaincre de vendre leur activité. Cela marche comment ? Peut-on avoir un bilan de 2018 ?
« L’année dernière, on avait une cinquantaine de partenaires, et cette année on en a presque 80. C’est-à-dire que cela marche très bien. Pendant trois jours, ils ont 60 rendez-vous de 15 minutes, et pendant les 15 minutes, le professionnel local présente son produit au tour-opérateur afin qu’il inclue sa prestation dans sa brochure et sur son site web. »
Ça représente combien de visiteurs à l’année, tous ces tours opérateurs ?
« En 2018, on avait 216 000 touristes, avec les excursionnistes, presque 260 000 visiteurs. C’est beaucoup. Et les 10 pays représentaient par les 61 tours-opérateurs, cela représente 85% de nos visiteurs. »
Un tel événement coûte plusieurs millions de Francs pacifique. Ça représente un investissement de combien, et surtout, pouvez-vous en évaluer les retombées ?
« C’est un budget total de 18 millions de Fcfp. Et quand on voit la visibilité que cela donne pour toutes les destinations partout dans le monde, c’est énorme et ce sont des retombées très bonnes pour le marché (…). »
Vous avez pour ambition de faire de Parau Parau Tahiti l’événement professionnel de référence de l’industrie touristique en Polynésie. C’est bien parti ?
« L’année dernière, on a fait 3 Parau Parau, pour l’Europe, l’Amérique et l’Asie. Cette année, on fait un global parce que c’était plus facile de l’organiser une fois dans l’année avec tous les professionnels locaux et tous les tours-opérateurs ensemble. »
« En 2018, on avait 216 000 touristes, avec les excursionnistes, presque 260 000 visiteurs. C’est beaucoup. Et les 10 pays représentaient par les 61 tours-opérateurs, cela représente 85% de nos visiteurs. »
Un tel événement coûte plusieurs millions de Francs pacifique. Ça représente un investissement de combien, et surtout, pouvez-vous en évaluer les retombées ?
« C’est un budget total de 18 millions de Fcfp. Et quand on voit la visibilité que cela donne pour toutes les destinations partout dans le monde, c’est énorme et ce sont des retombées très bonnes pour le marché (…). »
Vous avez pour ambition de faire de Parau Parau Tahiti l’événement professionnel de référence de l’industrie touristique en Polynésie. C’est bien parti ?
« L’année dernière, on a fait 3 Parau Parau, pour l’Europe, l’Amérique et l’Asie. Cette année, on fait un global parce que c’était plus facile de l’organiser une fois dans l’année avec tous les professionnels locaux et tous les tours-opérateurs ensemble. »
Rédaction web avec Sophie Guébel
