Même s’il y vit depuis des dizaines d’années, Maihare Maifano n’est pas originaire de Ahe. Il a été adopté par une des habitantes qui lui a cédé plusieurs bouts de terre. Ce n’est qu’au début des années 50 qu’il a rejoint Ahe.
À Ahe, comme dans la majorité des îles éloignées de Tahiti, le coprah reste l’activité principale. En attendant un éventuel travail à plein temps, les jeunes font comme notre doyen : ils travaillent dans la cocoteraie.