Reconnaissant que l’intersyndicale n’a pas tout à fait tort de dire qu’il faut travailler sur l’assurance maladie, Jacques Raynal tempère. « Je fais remarquer que le financement de l’assurance maladie peut être variable dans la mesure que les dépenses sont dépendantes de l’état de santé de la population. (…) mais je ne suis pas défavorable à cette façon d’aborder les choses. »
En tant que responsable, le ministre « envisage tous les problèmes. Je ne saucissonne pas par tranche ». Le 23 février une rencontre sous la forme d’ateliers, doit se tenir entre le ministre et les syndicats au sujet de la réforme de la PSG.
Réunion à laquelle les syndicats comptent présenter un plan d’action de 109 propositions. « Toutes propositions peuvent être intéressantes et être étudiées » déclare le ministre, poursuivant, « maintenant, ce n’est pas parce que l’on étudie une proposition que l’on est forcément dans l’optique d’aller dans le même sens. » Réponse le 23 février.