L’idée de fabriquer de la farine de banane est venue suite à la pénurie de Uru. Après les nombreux arbres coupés en prévision de la saison cyclonique, le fruit de l’arbre à pain se fait rare. La société Tahiti Uru factory s’est donc tournée vers la banane qui pousse abondamment.
Thérèse Huber explique que : « depuis le mois de décembre on s’est lancé dans la farine de banane, tout simplement parce qu’on ne trouvait pas de Uru. Ce n’était pas la saison et avec la saison cyclonique beaucoup d’arbres ont été coupés. Donc on a eu l’idée de transformer la banane verte en farine. C’est le même procédé. On fait sécher la banane et on obtient cette farine. »
Thérèse Huber explique que : « depuis le mois de décembre on s’est lancé dans la farine de banane, tout simplement parce qu’on ne trouvait pas de Uru. Ce n’était pas la saison et avec la saison cyclonique beaucoup d’arbres ont été coupés. Donc on a eu l’idée de transformer la banane verte en farine. C’est le même procédé. On fait sécher la banane et on obtient cette farine. »
La société ne s’arrête pas là, elle prévoit de sortir de la farine de cacao.
Thérèse Huber indique que : « on est uniquement au stade des tests. Nous essayons de transformer la fève de cacao. Pour qu’elle puisse ensuite être transformée par les chocolatiers pour en faire du chocolat. Et l’objectif est que fin 2016, on sorte la première tablette de chocolat entièrement made in fenua. »
Pour le moment, Tahiti Uru factory a besoin de 200kg par jour pour rebooster sa production tant appréciée des consommateurs…
Après avoir écumé les marchés du terroir, la société compte se rendre en février au salon de l’agriculture à Paris.
(Reportage de Sophie Guébel et Juliano Tautu )
Thérèse Huber, fondatrice de la société Tahiti Uru factory