Le 24 novembre dernier, la France déclarait à l’organisation mondiale de santé animale (OIE) un premier foyer d’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP) H5N1 en Dordogne.
Ce sont au moins 3 souches de virus d’influenza aviaire H5N1, H5N2, H5N9, hautement pathogène et une souche de virus d’influenza aviaire faiblement pathogène qui circulent en France. Cette situation est évolutive puisque les animaux et produits animaux, camions de transport français peuvent continuer de circuler entre élevages et établissements dans toute la France.
Actuellement, la Polynésie française est indemne d’infection par les virus de l’influenza aviaire et il est nécessaire de maintenir ce statut sanitaire car l’impact sur les élevages de poules pondeuses serait catastrophique (obligation d’abattage immédiat de l’ensemble des troupeaux). Le risque de contamination des oiseaux sauvages et poules domestiques serait très élevé. Par ailleurs, les virus mutent constamment et pourraient devenir pathogènes pour l’homme.
En conséquence, la décision a été prise de suspendre immédiatement les importations de viandes de volailles réfrigérées ou congelées, de produits à base de viandes de volailles, d’œufs et d’ovoproduits non soumis à un traitement thermique permettant la destruction du virus d’influenza aviaire en provenance de la France.
Cette mesure est publiée sur le site EXPADON de la direction générale de l’alimentation du ministère de l’Agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt, visant à interdire l’exportation vers la Polynésie française des produits issus de volailles qui ont séjourné et/ou étaient abattues en France (métropole) depuis le 24 octobre 2015.
Toutes ces denrées expédiées en Polynésie française seront refoulées et, pour les lots en cours d’arrivage, les produits seront consignés et leur devenir sera statué, au cas par cas, selon les informations disponibles suite aux enquêtes épidémiologiques réalisées dans les départements d’élevage et d’abattage d’origine des animaux.
Ce sont au moins 3 souches de virus d’influenza aviaire H5N1, H5N2, H5N9, hautement pathogène et une souche de virus d’influenza aviaire faiblement pathogène qui circulent en France. Cette situation est évolutive puisque les animaux et produits animaux, camions de transport français peuvent continuer de circuler entre élevages et établissements dans toute la France.
Actuellement, la Polynésie française est indemne d’infection par les virus de l’influenza aviaire et il est nécessaire de maintenir ce statut sanitaire car l’impact sur les élevages de poules pondeuses serait catastrophique (obligation d’abattage immédiat de l’ensemble des troupeaux). Le risque de contamination des oiseaux sauvages et poules domestiques serait très élevé. Par ailleurs, les virus mutent constamment et pourraient devenir pathogènes pour l’homme.
En conséquence, la décision a été prise de suspendre immédiatement les importations de viandes de volailles réfrigérées ou congelées, de produits à base de viandes de volailles, d’œufs et d’ovoproduits non soumis à un traitement thermique permettant la destruction du virus d’influenza aviaire en provenance de la France.
Cette mesure est publiée sur le site EXPADON de la direction générale de l’alimentation du ministère de l’Agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt, visant à interdire l’exportation vers la Polynésie française des produits issus de volailles qui ont séjourné et/ou étaient abattues en France (métropole) depuis le 24 octobre 2015.
Toutes ces denrées expédiées en Polynésie française seront refoulées et, pour les lots en cours d’arrivage, les produits seront consignés et leur devenir sera statué, au cas par cas, selon les informations disponibles suite aux enquêtes épidémiologiques réalisées dans les départements d’élevage et d’abattage d’origine des animaux.
D’après communiqué