Par voie de communiqué, la Fédération des associations des parents d’élèves de l’enseignement public (Fapeep) informe qu’elle a « pris acte » de la décision de l’ensemble des centrales syndicales des enseignants du premier et du second degré de Polynésie de soutenir le mouvement de grève national organisé ce lundi 12 novembre. Dans cette perspective, elle appelle tous les parents d’élèves, « particulièrement ceux de maternelles où l’éducation n’est pas obligatoire », à prendre leurs dispositions dans la prise en charge de leurs enfants.
« Pour autant, l’ensemble des écoles et établissements, du premier comme du second degré, seront ouverts pour assurer la continuité du service public, rappelle la fédération présidée par Tepuanui Snow. À cet égard, les personnels de direction devront être présents dans leur école ou établissement respectif pour accueillir les enfants qui seront déposés par leurs parents. Aucun enfant ne pourra être refusé », précise encore la Fapeep.
Plus loin, elle confie prendre « toute la mesure des enjeux de cette mobilisation qui a pour objet de protester contre la suppression par le gouvernement central de 2 650 postes de personnels enseignants dans les collèges et lycées en 2019 ».
« Comme on peut d’ores et déjà le craindre, poursuit-elle, il y a de fortes probabilités que ces suppressions de postes soient étendus à la Polynésie française, se traduisant notamment par des fermetures de classes, ou le non-remplacement de postes d’enseignants dans le cadre de la prochaine rentrée scolaire de 2019. En conséquence de quoi, les parents d’élèves risquent, comme en 2017, de se voir opposer par le Vice-recteur des questions de ‘plafonds d’emploi’ contre la réussite scolaire de nos enfants !
La fédération restera donc très vigilante sur le fait que les élèves de Polynésie ne payent pas les pots cassés de cette suppression massive de postes d’enseignants. Ce seront alors les parents d’élèves qui marcheront dans la rue ! », conclut la fédération.
De son côté, le maire de Hitia’a o te ra, Dauphin Domingo, informe les parents d’élèves des écoles Mamu, Tehaaehaa, Moenoa, Tevaihopu, Faretai et Momo’a, que le ramassage et les repas ne seront pas effectués lundi en raison du mouvement de grève, et ne reprendront que le lendemain, mardi.
« Pour autant, l’ensemble des écoles et établissements, du premier comme du second degré, seront ouverts pour assurer la continuité du service public, rappelle la fédération présidée par Tepuanui Snow. À cet égard, les personnels de direction devront être présents dans leur école ou établissement respectif pour accueillir les enfants qui seront déposés par leurs parents. Aucun enfant ne pourra être refusé », précise encore la Fapeep.
Plus loin, elle confie prendre « toute la mesure des enjeux de cette mobilisation qui a pour objet de protester contre la suppression par le gouvernement central de 2 650 postes de personnels enseignants dans les collèges et lycées en 2019 ».
« Comme on peut d’ores et déjà le craindre, poursuit-elle, il y a de fortes probabilités que ces suppressions de postes soient étendus à la Polynésie française, se traduisant notamment par des fermetures de classes, ou le non-remplacement de postes d’enseignants dans le cadre de la prochaine rentrée scolaire de 2019. En conséquence de quoi, les parents d’élèves risquent, comme en 2017, de se voir opposer par le Vice-recteur des questions de ‘plafonds d’emploi’ contre la réussite scolaire de nos enfants !
La fédération restera donc très vigilante sur le fait que les élèves de Polynésie ne payent pas les pots cassés de cette suppression massive de postes d’enseignants. Ce seront alors les parents d’élèves qui marcheront dans la rue ! », conclut la fédération.
De son côté, le maire de Hitia’a o te ra, Dauphin Domingo, informe les parents d’élèves des écoles Mamu, Tehaaehaa, Moenoa, Tevaihopu, Faretai et Momo’a, que le ramassage et les repas ne seront pas effectués lundi en raison du mouvement de grève, et ne reprendront que le lendemain, mardi.
Rédaction web, avec communiqués