Le président Edouard Fritch a reçu hier jeudi, en fin de journée, deux experts, Wanda Diebolt et Grégory Quénet, qui vont travailler sur le dossier du classement du site de Taputapuatea, sur l’île de Raiatea, au patrimoine mondial de l’Unesco.
Wanda Diebolt, ancienne directrice de l’architecture et du patrimoine, et Grégory Quenet, professeur, spécialiste en histoire de l’environnement, ont en effet été désignés rapporteurs du dossier de Taputapuatea, par le Comité national des biens français du patrimoine mondial, le 3 juin dernier.
Huit groupes de travail liés à l’élaboration du plan de gestion du site doivent être mis en place et devront réfléchir sur les thématiques aussi différentes que la valorisation et la protection du site ou encore la transmission des savoirs entre générations. Un Comité de gestion, avec des propositions de prescriptions et d’actions concrètes, est prévu prochainement à Avera. La mission des deux experts va permettre de finaliser le dossier qui sera présenté en juin 2015, à Paris, au Comité des biens français.
Le président apporte son soutien à cette démarche importante à la fois pour la culture polynésienne, mais aussi pour le potentiel touristique de la destination et son développement économique.
Wanda Diebolt, ancienne directrice de l’architecture et du patrimoine, et Grégory Quenet, professeur, spécialiste en histoire de l’environnement, ont en effet été désignés rapporteurs du dossier de Taputapuatea, par le Comité national des biens français du patrimoine mondial, le 3 juin dernier.
Huit groupes de travail liés à l’élaboration du plan de gestion du site doivent être mis en place et devront réfléchir sur les thématiques aussi différentes que la valorisation et la protection du site ou encore la transmission des savoirs entre générations. Un Comité de gestion, avec des propositions de prescriptions et d’actions concrètes, est prévu prochainement à Avera. La mission des deux experts va permettre de finaliser le dossier qui sera présenté en juin 2015, à Paris, au Comité des biens français.
Le président apporte son soutien à cette démarche importante à la fois pour la culture polynésienne, mais aussi pour le potentiel touristique de la destination et son développement économique.