Nathalie s’entoure de personnes issues du secteur primaire principalement. Cette spécialiste de la permaculture souhaite sensibiliser les électeurs sur le retour à la terre, à partir de cultures plus saines, sans produits chimiques.
« Le cœur du programme, c’est vraiment l’autonomie alimentaire, l’autonomie financière et l’autonomie énergétique. Mais l’autonomie alimentaire reste une priorité parce qu’on a plus besoin de dépendre de l’extérieur pour avoir de la nourriture, des aliments sains, dans nos assiettes parce qu’on va manger ce que l’on plante et cela va aussi impacter sur notre santé parce qu’on mange ce que l’on plante justement. Cela ne va pas impacter que la santé physique, mais la santé mentale et morale également, puisque cela va les aider à se valoriser. Ils vont être fiers de ce qu’ils font parce qu’on produit la vie. (…) Et par la suite, cela va engendrer du respect, de la civilité » explique cette militante du développement durable.
« Cela va aussi aider les familles à pouvoir vendre leurs produits et surtout, à se nourrir avec leurs produits. (…) Et je veux mettre l’accent sur le sol, parce qu’on a trop dévalorisé le sol. Avec ce système de permaculture, les gens vont commencer à respecter la terre, à redonner de la valeur aux sols, ce qui diminuera la pollution » poursuit-elle.
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