21 danseuses sont inscrites. Six viennent de métropole, il y a aussi de nombreuses Japonaises, une danseuse italienne et une danseuse américaine.
Quatre d’entre elles reviennent pour la 6e fois : l’américaine Nanavei Radford, les japonaises Yuriko Kai, Ritsuko Oyake et Maki Osotani. Vendredi, elles tenteront de décrocher le prix international Louise Kimitete.
Ce prix a été une seule fois remporté en neuf ans par l’Américaine Desiree Woodward Lee.
Pour Nanavei, venir en Polynésie pratiquer le ori Tahiti, s’est retrouver ses racines. Son père est Tahitien. « J’ai commencé en 2011. Ça fait longtemps que je travaille pour en arriver à ce point. Je suis nerveuse mais excitée aussi ».