Ce matin les élèves étaient au fond de la vallée de Tipaerui. Yvan Teraitua est professeur collège Henri Hiro et coordonne l’opération « école ouverte ». « Nous avons organisé l’école ouverte sur la semaine. Les trois premiers jours on accueille les enfants au collège et à partir de jeudi nous avons organisé des sorties. Nous sommes allé à l’Otac et au musée de Tahiti et des Îles. Et aujourd’hui nous sommes en pleine nature dans la vallée de Tiperui ».
Le collège Henri Hiro vise d’obtenir cette année le label éco-collège sur le thème de l’eau. » Toutes les activités sont centrées autour de l’eau. On travaille dessus toute l’année et aussi hors temps scolaire, dans l’école ouverte ».
Il y aussi des activités qui sont plus culturelles. « L’objectif de la journée est de lister tout l’écosystème de la vallée de Tipaerui pour que les élèves prennent conscience de la richesse de l’environnement et qu’ils aient envie de le protéger. »
Denis Solia, principal du collège révèle qu’outre le côté pédagogique, le but de ces journées est de faire sortir les enfants qui n’ont pas forcément les moyens de partir en vacances. « Plutôt qu’ils restent à la maison, on ouvre le collège ce qui leur permet d’avoir des activités culturelles, scolaires et ludiques, afin qu’ils passent leur semaine de vacances tranquillement ».
Mais pourquoi la vallée de Tipaerui ? « C’est un endroit où les élèves ne vont jamais. Grâce aux associations qui s’occupent de la vallée, ils ont pu avoir des ateliers sur les anguilles, la façon de faire du feu, attraper les cochons. » Faire l’école buissonnière avec ses professeurs, voila un souvenir que les enfants ne sont pas près d’oublier.
Le collège Henri Hiro vise d’obtenir cette année le label éco-collège sur le thème de l’eau. » Toutes les activités sont centrées autour de l’eau. On travaille dessus toute l’année et aussi hors temps scolaire, dans l’école ouverte ».
Il y aussi des activités qui sont plus culturelles. « L’objectif de la journée est de lister tout l’écosystème de la vallée de Tipaerui pour que les élèves prennent conscience de la richesse de l’environnement et qu’ils aient envie de le protéger. »
Denis Solia, principal du collège révèle qu’outre le côté pédagogique, le but de ces journées est de faire sortir les enfants qui n’ont pas forcément les moyens de partir en vacances. « Plutôt qu’ils restent à la maison, on ouvre le collège ce qui leur permet d’avoir des activités culturelles, scolaires et ludiques, afin qu’ils passent leur semaine de vacances tranquillement ».
Mais pourquoi la vallée de Tipaerui ? « C’est un endroit où les élèves ne vont jamais. Grâce aux associations qui s’occupent de la vallée, ils ont pu avoir des ateliers sur les anguilles, la façon de faire du feu, attraper les cochons. » Faire l’école buissonnière avec ses professeurs, voila un souvenir que les enfants ne sont pas près d’oublier.
Rédaction Web avec Sam Teniaore et Manava Tepa