Dopage

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Publié le 18/05/2017 à 12:03 - Mise à jour le 24/06/2019 à 15:57

Partenariat avec la DJS

A cet effet, le COL Tahiti Va’a 2018 travaille en étroite concertation avec la cellule compétente de la Direction de la Jeunesse et des Sports (DJS), pilotée par M. Damas Teuira.
 
Parmi les 13 personnes accréditées par l’ORADO en Polynésie française, 4 agents de la DJS (préleveurs accrédités) seront mobilisés pour mettre en œuvre le dispositif de dépistage des produits dopants, à partir de tests urinaires.
 
 En sus de ces moyens humains, le Pays mettra à disposition des moyens matériels importants et notamment un cabine adaptée et amovible, évitant au COL des investissements lourds. 

Accords internationaux

La Polynésie française travaille au bouclage de son arsenal juridique dédié à la lutte contre le dopage. M. Anthony Pheu, directeur de la DJS, estime la fin des travaux à cette année.
 
Par ailleurs, la Polynésie française est devenue en 2017 membre à part entière de l’ORADO, organe régional rattaché à l’Agence Mondiale Antidopage (AMA).
 
Ces accords de coopération internationale seront ainsi mis à contribution par la Fédération Internationale de Va’a (FIV) pour mettre en place les contrôles anti dopage. 

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Echantillons

Le coût par échantillon contrôlé est de 50 000 XPF.
 
Traitée au laboratoire national de Chatenay Malabry, les organisateurs (FIV) seront informés dans un délai d’un mois, à partir de la réception des échantillons.
 
Un échantillon est considéré valable à partir d’un volume de 90 millilitres d’urine par athlète. 

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