Selon nos confrères de Radio1, c’est suite à des tests anti-dopage préventifs menés par la fédération tahitienne de va’a et le comité organisateur local des championnats du monde, que ceux-ci ont révélé que des rameurs s’adonnaient à la consommation de stupéfiants. Du cannabis en l’occurrence, substance inscrite sur la liste des produits interdits de l’Agence mondiale anti-dopage.
Si la fédération tahitienne de va’a n’a pas mis en place de réglementation particulière concernant le dopage, elle a écarté les personnes contrôlées positifs, forçant les équipes à revoir leur composition. Pour l’heure, le nombre de rameurs en infraction reste inconnu.
Rédaction web