Aujourd’hui, une dizaine de stations constituées existent, éparpillées dans les différents archipels de Polynésie. Mais maintenir ces stations peut parfois être compliqué. « Une des problématiques c’est d’entretenir la motivation des adhérents sur place. Il est vrai que des opérations, il n’y en a pas tous les jours. Il peut y en avoir une seule fois dans l’année et du coup, les adhérents partent un peu dans la nature. »
– PUBLICITE –
La FEPSM utilise des moyens mis à disposition par le Pays. Mais le nouveau président espère bien que la Fédération puisse acquérir ses propres moyens. « Nous n’avons pas de moyens propres si ce n’est les moyens personnels de nos adhérents. Le but est d’avoir un ou des moyens appartenant à la FEPSM. »
Côté sécurité, la FEPSM a vendu environ 700 balises et compte bien poursuivre. « Nous continuons grâce à l’action de nos partenaires financiers ».
Vetearii Flohr n’a pas prévu de se déplacer dans les îles mais il prendra contact avec les patrons de stations via vidéo conférence.
Rédaction web