Après avoir goûté quelques produits locaux qu’elle ne connaissait pas, Ericka Bareigts poursuit sa visite auprès des artisans. Au menu, la fabrication du monoï.
Autre découverte, la gentillesse des Polynésiens. « Mais au delà de çà, c’est leur savoir-faire, leur talent. C’est un peuple d’artistes, plein de talents. tout est fait en délicatesse, avec des savoirs faire ancestraux ».
Constatant que la Polynésie avait un potentiel économique autour de l’artisanat, « très important », elle estime que cela représente « un vrai, vrai atout » et de citer « le monoï, la perle etc.. » pour elle, « il y a des signatures polynésiennes qu’il faut garder et protéger. »
« C’est un grand plaisir de voir la ministre », déclare une maraîchère qui s’est entretenue quelques instants avec Ericka Bareigts, « ce n’est pas souvent que l’on reçoit de telle visite. c’est positif. »
Quant à Edouard Fritch, la visite du marché est un passage incontournable pour les personnalités de passage. « Cela leur montre l’activité qu’il y a dans ce pays, puisque l’on y trouve de l’artisanat, de la pèche, de l’agriculture. Dans ce marché, vous avez une idée de ce que l’on trouve en Polynésie, de ses acteurs économiques. (…) C’est un éclairage intéressant sur l’activité de la Polynésie. »
Prochaine étape pour Ericka Bareigts moins folklorique cette-fois ci, la visite des sites de transitions énergétiques et du numérique à Tahiti.