Ce dispositif s’applique surtout pour sanctionner les automobilistes en récidive avec un taux supérieur d’alcool. Selon la gendarmerie le rôle du sabot de Denver en matière de prévention/répression est primordial.
Et pourtant, en un an d’existence sur le fenua, l’outil n’a servi à immobiliser que six voitures. Alors que la gendarmerie dit ne pas être en pénurie et que le taux de délits liés à l’alcool ne baisse pas. En 2016, 1818 conducteurs ont été contrôlés positifs.
« Nous avons posé environ cinq sabots de Denver, l’année dernière. Cette opération ne s’est pas vraiment démocratisée. Même si c’est sur notre demande que l’on pose des sabots, c’est la justice qui décide », précise le capitaine Olivier Faure. Poursuivant, « Cette année, la justice a prévu de mettre en place de plus en plus de sabots, et cela répond au manque de fourrière qu’il y a sur le territoire. »
L’homme qui a vu son véhicule immobilisé ce matin par le sabot de Denver, est un récidiviste. « C’est une personne qui roulait à 50 km/h au dessus de la vitesse autorisée et de surcroît, il avait un fort taux d’alcoolémie. Il était important pour nous que son véhicule soit retiré de la circulation ».
Nul n’est à l’abri en Polynésie de se voir apposer sur sa roue un tel engin. « Nous possédons assez de sabots pour aller en poser à Nuku Hiva ou aux Tuamotu. » Et à ceux qui auraient la mauvaise idée de se débarrasser du sabot, « Ils encourent près de 3 600 000 Fcfp d’amende et jusqu’à deux ans d’emprisonnement. »
Et pourtant, en un an d’existence sur le fenua, l’outil n’a servi à immobiliser que six voitures. Alors que la gendarmerie dit ne pas être en pénurie et que le taux de délits liés à l’alcool ne baisse pas. En 2016, 1818 conducteurs ont été contrôlés positifs.
« Nous avons posé environ cinq sabots de Denver, l’année dernière. Cette opération ne s’est pas vraiment démocratisée. Même si c’est sur notre demande que l’on pose des sabots, c’est la justice qui décide », précise le capitaine Olivier Faure. Poursuivant, « Cette année, la justice a prévu de mettre en place de plus en plus de sabots, et cela répond au manque de fourrière qu’il y a sur le territoire. »
L’homme qui a vu son véhicule immobilisé ce matin par le sabot de Denver, est un récidiviste. « C’est une personne qui roulait à 50 km/h au dessus de la vitesse autorisée et de surcroît, il avait un fort taux d’alcoolémie. Il était important pour nous que son véhicule soit retiré de la circulation ».
Nul n’est à l’abri en Polynésie de se voir apposer sur sa roue un tel engin. « Nous possédons assez de sabots pour aller en poser à Nuku Hiva ou aux Tuamotu. » Et à ceux qui auraient la mauvaise idée de se débarrasser du sabot, « Ils encourent près de 3 600 000 Fcfp d’amende et jusqu’à deux ans d’emprisonnement. »
Rédaction Web avec Esther Parau Cordette et Tauhiti Tauniua Mu-San