« Dès que j’arrive, j’essaie d’aller à la mer pour reprendre mes couleurs. Je passe beaucoup de temps avec ma famille et le plus possible aussi avec mes amis. »
Sa carrière de top model, elle l’a démarrée en 2016 grâce à la Tahiti Fashion Week d’Alberto V. Sélectionnée par l’agence Brave, la jeune fille s’envole pour l’Italie. Elle défile pour la première fois pour un créateur de chaussures aux côtés d’Alizée, une autre polynésienne. « En vrai, c’est très très difficile le mannequinat. Il ne faut pas le prendre à la légère. C’est un métier. J’ai défilé pour des petites marques à Milan ou à Paris. Ce n’est pas comme les grandes marques, mais ce sont de bons designers qui font de beaux vêtements. »
Le mannequinat, elle en a aujourd’hui fait son métier. Mais l’univers de la mode est très concurrentiel. Pour rester au top, elle s’impose donc une hygiène de vie stricte : le prix à payer pour poursuivre son rêve ! Et elle peut compter sur le soutien de ses proches. « C’est beaucoup de fierté en tant que maman. (…) J’ai besoin de l’entendre matin et soir. Mon téléphone est toujours connecté en 3G 24h/24. Au cas où il lui arrive quelque chose, elle peut me joindre », confie Olga sa maman.
Pour ses parents, le mannequinat a permis à Heitiarii de mûrir. Elle voyage d’ailleurs seule pour chacun de ses déplacements professionnels même si elle garde en permanence le contact avec sa famille.
Les candidatures sont à envoyer à [email protected]
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