La grève se profile dans les hôpitaux. Mercredi, le syndicat des praticiens hospitaliers a déposé un préavis de grève pour faire respecter les revendications reprises par 5 protocoles d’accord successifs entre 2009 et 2016.
Deux jours après, le SPHPF dénonce l’absence de négociation. « Le contournement du dialogue social, consistant à mettre fin à des conflits en signant des protocoles d’accord qui ne sont jamais appliqués, empêche toute évolution de la profession. »
Le 10 octobre, le syndicat a envoyé un courrier au Président du Pays et aux ministres de la fonction publique et de la santé, pour demander l’application intégrale des 6 points du dernier protocole d’accord. Sans réaction du gouvernement, un préavis de grève a finalement été déposé « pour reprendre le dialogue social selon le cadre prévu par la loi ».
« L’attitude de déni du gouvernement entraine inexorablement le mouvement syndical vers une cristallisation du conflit.
Le syndicat des praticiens hospitaliers compte encore sur la clairvoyance des autorités pour donner une chance aux négociations indispensables à la solution du conflit. »
Deux jours après, le SPHPF dénonce l’absence de négociation. « Le contournement du dialogue social, consistant à mettre fin à des conflits en signant des protocoles d’accord qui ne sont jamais appliqués, empêche toute évolution de la profession. »
Le 10 octobre, le syndicat a envoyé un courrier au Président du Pays et aux ministres de la fonction publique et de la santé, pour demander l’application intégrale des 6 points du dernier protocole d’accord. Sans réaction du gouvernement, un préavis de grève a finalement été déposé « pour reprendre le dialogue social selon le cadre prévu par la loi ».
« L’attitude de déni du gouvernement entraine inexorablement le mouvement syndical vers une cristallisation du conflit.
Le syndicat des praticiens hospitaliers compte encore sur la clairvoyance des autorités pour donner une chance aux négociations indispensables à la solution du conflit. »
La grève pourrait débuter le 6 novembre dans les hôpitaux de Tahiti et des îles, pour une durée illimitée.
Rédaction web