Concrètement, elles permettent aux journalistes de démissionner en bénéficiant du régime juridique du licenciement. Elles peuvent être appliquées lorsque le journaliste n’est plus en phase avec la déontologie ou la ligne éditoriale de l’employeur. Elles ont été adoptées hier en conseil des ministres. Finalement, il aura fallu 82 ans à la Polynésie pour rattraper son retard en matière d’indépendance journalistique.
Cette loi existe depuis 1935 en métropole et fait partie des fondements du statut de journaliste. Il s’agit de la clause de conscience et de la clause de cession, qui protègent la profession.
Rédaction web avec JB Calvas