Bernadette Taputu Wasna fait partie des quelques habitants de la Presqu’île qui donnent bénévolement de leur temps pour nettoyer ce bout d’île. Ce mercredi, ils étaient une poignée à avoir sorti les sacs poubelles, les gants et les râteaux afin de rafraîchir la plage de sable blanc de Vairao.
« Ici nous sommes sur la plus belle plage de la Presqu’île et les gens ne la respectent pas, déplore Bernadette. Elle est tellement belle. Ils viennent faire la fête ici, ils viennent en pique-nique avec leurs enfants en bas âge, c’est magnifique ! On ne leur demande pas de ne plus venir, on leur demande juste de repartir avec leurs déchets. »
« Ici nous sommes sur la plus belle plage de la Presqu’île et les gens ne la respectent pas, déplore Bernadette. Elle est tellement belle. Ils viennent faire la fête ici, ils viennent en pique-nique avec leurs enfants en bas âge, c’est magnifique ! On ne leur demande pas de ne plus venir, on leur demande juste de repartir avec leurs déchets. »
Parmi les nombreux déchets qu’ils ont ramassés : du plastique, des tessons de bouteilles, des canettes et bien d’autres détritus, parfois cachés dans le sable…
« Aujourd’hui on ne se rend pas compte de cet incivisme, reprend Bernadette. De jeter littéralement nos déchets, que ce soit en bord de route, en bord de mer, dans les ruisseaux, dans les caniveaux, dans les rivières, tous ces déchets finissent un jour dans les lagons. Donc ça veut dire que ce sont les petits poissons qui vont les manger et nous on va consommer ces petits poissons un jour. On s’inquiète aujourd’hui qu’on a des maladies qu’on a du mal à soigner. Je pense que la responsabilité est à chacun, donc je lance un appel de civisme à chacun. »
« Aujourd’hui on ne se rend pas compte de cet incivisme, reprend Bernadette. De jeter littéralement nos déchets, que ce soit en bord de route, en bord de mer, dans les ruisseaux, dans les caniveaux, dans les rivières, tous ces déchets finissent un jour dans les lagons. Donc ça veut dire que ce sont les petits poissons qui vont les manger et nous on va consommer ces petits poissons un jour. On s’inquiète aujourd’hui qu’on a des maladies qu’on a du mal à soigner. Je pense que la responsabilité est à chacun, donc je lance un appel de civisme à chacun. »
Rédaction web avec Mata Ihorai