La Dépêche le révélait ce mercredi matin : Punaauia est contrainte de revoir son système de collecte des déchets… comme la plupart des communes qui ne peuvent plus absorber le coût du ramassage. Entretien des véhicules, carburant, agents communaux : à Punaauia, la facture, actuellement de 21 000 Fcfp par administré et par an, devrait tripler, pour être conforme aux exigences du code général des collectivités. A Mahina, où chaque foyer paie 26 000 Fcfp annuels, elle est susceptible de doubler. Chaque commune cherche des solutions.
La commune symbolisée par une orange vient d’investir 240 millions de Fcfp dans de nouvelles bennes à ordures. Les anciens camions avaient plus de 20 ans. Un investissement conséquent qui vient s’ajouter aux 120 millions que coûte la convention avec Fenua ma…
Un bac individuel, qu’il soit vert ou gris, vaut 14 000 Fcfp… Des dépenses qui devront bientôt être prises en charge par les administrés. Car le CGCT prévoit, à l’horizon 2024, que ce ne soit plus les communes qui absorbent ce coût mais un budget annexe, exclusivement alimenté par les redevances. Punaauia a donc imaginé la mise en place de points d’apports groupés, où les administrés de certains quartiers devront transporter leurs déchets.
A Mahina, où le matériel commence à donner des signes de fatigue… d’autres pistes d’économies sont envisagées… Et notamment la réduction de la fréquence des ramassages. Car les déplacements dans les lotissements en hauteur coûtent cher.
D’autres communes réfléchissent également au partage des coûts avec un système intercommunal, c’est notamment le cas des Marquises.
La commune symbolisée par une orange vient d’investir 240 millions de Fcfp dans de nouvelles bennes à ordures. Les anciens camions avaient plus de 20 ans. Un investissement conséquent qui vient s’ajouter aux 120 millions que coûte la convention avec Fenua ma…
Un bac individuel, qu’il soit vert ou gris, vaut 14 000 Fcfp… Des dépenses qui devront bientôt être prises en charge par les administrés. Car le CGCT prévoit, à l’horizon 2024, que ce ne soit plus les communes qui absorbent ce coût mais un budget annexe, exclusivement alimenté par les redevances. Punaauia a donc imaginé la mise en place de points d’apports groupés, où les administrés de certains quartiers devront transporter leurs déchets.
A Mahina, où le matériel commence à donner des signes de fatigue… d’autres pistes d’économies sont envisagées… Et notamment la réduction de la fréquence des ramassages. Car les déplacements dans les lotissements en hauteur coûtent cher.
D’autres communes réfléchissent également au partage des coûts avec un système intercommunal, c’est notamment le cas des Marquises.