Premier Polynésien à obtenir le diplôme d’ingénieur des ponts et chaussées, Alban Ellacott restera dans les mémoires comme un pionnier dans de multiples domaines. Lors de la veillée de prières, vendredi soir au domicile familial de Punaauia, son fils Taimana l’a dépeint comme un bâtisseur. Un terme qui lui convenait bien, pour ses proches comme pour ses amis.
« Un bâtisseur, ce n’est pas un constructeur, a déclaré le ministre du Logement Jean-Christophe Bouissou, présent à la veillée. C’est quelqu’un qui a une vision, c’est quelqu’un qui voit l’avenir, c’est quelqu’un qui a aussi des capacités à savoir. Et en ce sens, Alban Ellacott était vraiment un bâtisseur. »
Pour le maire de Punaauia Simplicio Lissant, également présent à la veillée, « c’est une grande tristesse de voir nous quitter un grand homme, mais il a laissé tellement de belles choses qu’il faut être fier de ce parcours. Et je crois que ses enfants vont prendre exemple sur lui ».
Entourée de sa famille et de ses amis, la dépouille d’Alban Ellacott a pris la direction ce samedi matin du temple protestant de Punaauia, puis du cimetière de l’Uranie où il a été inhumé. Des témoignages de sympathie, venant parfois de France et de Hawaii, lui ont été adressés, mais aussi de nombreux remerciements.
Déborah Ellacott-Kimitete, sa fille, confiait près de la dernière demeure de son père : « Je lui souhaite de partir en paix sur les belles pirogues qu’il aimait. Je sais que de là-haut, il nous voit. Je pense qu’il a été heureux de voir tous ses amis, tous ceux qui l’ont accompagné pendant toute sa vie, tous ceux pour lesquels il a donné de son temps, de son esprit, de son intelligence. Il a semé ces graines-là en nous, et nous sommes fiers de l’avoir eu comme père. »
Avec la disparition d’Alban Ellacott, la Polynésie perd l’une de ses grandes figures. Un homme qui aura marqué l’histoire du fenua de son empreinte.
« Un bâtisseur, ce n’est pas un constructeur, a déclaré le ministre du Logement Jean-Christophe Bouissou, présent à la veillée. C’est quelqu’un qui a une vision, c’est quelqu’un qui voit l’avenir, c’est quelqu’un qui a aussi des capacités à savoir. Et en ce sens, Alban Ellacott était vraiment un bâtisseur. »
Pour le maire de Punaauia Simplicio Lissant, également présent à la veillée, « c’est une grande tristesse de voir nous quitter un grand homme, mais il a laissé tellement de belles choses qu’il faut être fier de ce parcours. Et je crois que ses enfants vont prendre exemple sur lui ».
Entourée de sa famille et de ses amis, la dépouille d’Alban Ellacott a pris la direction ce samedi matin du temple protestant de Punaauia, puis du cimetière de l’Uranie où il a été inhumé. Des témoignages de sympathie, venant parfois de France et de Hawaii, lui ont été adressés, mais aussi de nombreux remerciements.
Déborah Ellacott-Kimitete, sa fille, confiait près de la dernière demeure de son père : « Je lui souhaite de partir en paix sur les belles pirogues qu’il aimait. Je sais que de là-haut, il nous voit. Je pense qu’il a été heureux de voir tous ses amis, tous ceux qui l’ont accompagné pendant toute sa vie, tous ceux pour lesquels il a donné de son temps, de son esprit, de son intelligence. Il a semé ces graines-là en nous, et nous sommes fiers de l’avoir eu comme père. »
Avec la disparition d’Alban Ellacott, la Polynésie perd l’une de ses grandes figures. Un homme qui aura marqué l’histoire du fenua de son empreinte.
Rédaction web avec Thierry Teamo