Et de citer. « On compte ceux qui ont voté blanc, parmi les votants. Puis on s’aperçoit après, qu’en voix exprimées, les blancs ne sont pas retenus. C’est pour cela que nous nous levons aujourd’hui et faisons appel aux politiciens pour leur dire… Cela suffit. »
Et d’argumenter. « Le vote blanc, c’est comme un vote pour un parti. On se déplace, on prend l’enveloppe, on la met dans l’urne et nous signons. Donc, c’est une voix exprimée ».
Et de poursuivre. « Imaginez que dimanche il y ait 70 à 80% de personnes qui votent blanc. Et 20 à 30% qui votent pour un candidat. Ce sont donc ces voix qui seront prises en compte et non les votes blancs. Nous disons donc que la démocratie, il faut la revoir. »
A cet effet, ce parti émergent encourage ceux qui ne sont pas déplacés pour le premier tour, à exprimer leur désaccord vis à vis du système politique en votant blanc, quand bien même celui-ci ne sera pas pris en compte.