Après avoir reçu le signal d’une balise de détresse par satellite en début de soirée, et en l’absence de tout contact avec le voilier, le JRRC a engagé l’hélicoptère Dauphin du détachement 35F.
Après 2h45 de vol, le catamaran a été repéré par l’hélicoptère sur le récif de Mopelia. Le naufragé a été immédiatement hélitreuillé, puis, après un bilan de santé positif, ramené à Tahiti aux environs de minuit et demi.
Cette opération de sauvetage effectuée, en pleine nuit, à plus de 250 miles nautiques (470km) de Tahiti dans un secteur isolé, a été facilitée par le déclenchement d’une balise de détresse par satellite (EPIRB – PLB*). Le JRCC Tahiti invite donc tous les navigateurs à se munir d’un dispositif d’alerte qui permet de mobiliser et d’aiguiller rapidement les moyens de recherche et de secours.
En mer, il est impératif d’être équipé d’un moyen de communication adapté (radio ou téléphone), quel que soit le type de navigation, et plus particulièrement pour les longues traversées.
(communiqué de presse)
Après 2h45 de vol, le catamaran a été repéré par l’hélicoptère sur le récif de Mopelia. Le naufragé a été immédiatement hélitreuillé, puis, après un bilan de santé positif, ramené à Tahiti aux environs de minuit et demi.
Cette opération de sauvetage effectuée, en pleine nuit, à plus de 250 miles nautiques (470km) de Tahiti dans un secteur isolé, a été facilitée par le déclenchement d’une balise de détresse par satellite (EPIRB – PLB*). Le JRCC Tahiti invite donc tous les navigateurs à se munir d’un dispositif d’alerte qui permet de mobiliser et d’aiguiller rapidement les moyens de recherche et de secours.
En mer, il est impératif d’être équipé d’un moyen de communication adapté (radio ou téléphone), quel que soit le type de navigation, et plus particulièrement pour les longues traversées.
(communiqué de presse)