Un tiers de l’eau est aspergée sur la zone brulée et deux tiers sur la zone non brulée, « de manière à éviter toute reprise d’incendie, en cas de vent qui viendrait à se lever ou d’escarbilles qui se mettraient à prendre feu et qui pourraient entraîner une reprise du feu ».
Hier, les propriétaires soupçonnaient une origine criminelle à l’incendie. « Il y avait un ancien champs de cannabis sur la crête. Nous on l’avait signalé. Je pense que les personnes ont dû se venger et brûler l’endroit ». Pour Xavier Bonet, « Une enquête va être menée, mais il est vrai que ce type d’incendie ne s’est pas déclenché accidentellement. Une enquête va être diligentée par la gendarmerie et on verra ce qu’il en sera. » Les équipes de pompiers effectueront des rondes pendant encore 48 heures. Ce sont cinq hectares de forêt qui sont partis lundi en fumée.