Le recrutement comme collaboratrice à l’Assemblée de l’une de ses proches, qui n’avait pourtant pas les compétences adéquates, d’abord, mais aussi le prêt de véhicules de la mairie à l’époux de l’une de ses adjointes, responsable d’une entreprise de pompes funèbres.
Marcelin Lisan avait également permis des achats, par la commune, pour des événements organisés par celle-ci, dans un supermarché dont il est cogérant.
C’est le parquet de Papeete qui avait interjeté appel du jugement de première instance, estimant que la peine n’avait pas été assez sévère. La cour d’appel a finalement rendu une décision identique à celle prononcée par le tribunal correctionnel.