Presque tous les jours, Marie-Paule Dumont travaille sur son bureau, dans son salon. À la lumière d’une lampe, elle laisse ses doigts reproduire sur la porcelaine ce que l’atoll de Rangiroa lui inspire au quotidien.
« Depuis une quinzaine d’années, je me suis mise à la peinture sur porcelaine et c’est devenu une passion, raconte-t-elle. Il faut de la bonne matière première, c’est-à-dire de la bonne porcelaine. » Marie-Paule fait venir la sienne de Limoges. Ses assiettes, une fois peintes, sont cuites 12 heures dans un four qui va jusqu’à 1 200 °C, « au prix de l’électricité de Rangi », s’amuse-t-elle à préciser.
Marie-Paule est l’épouse du médecin de l’atoll. Après plus de 11 années passées en Polynésie, ils ont décidé de retourner en métropole pour voir grandir leurs petits-enfants. Si l’île va manquer à l’artiste-peintre, elle va manquer « encore plus à mon mari », confie-t-elle dans un sourire. « Il aime ce qu’il fait, il aime les gens ici, il va beaucoup pleurer je pense… »
Le départ de l’artiste est prévu fin octobre. Elle quittera le fenua avec un pincement au cœur, mais surtout le regret de ne pas avoir réussi à communiquer sa passion à un Polynésien.
« Depuis une quinzaine d’années, je me suis mise à la peinture sur porcelaine et c’est devenu une passion, raconte-t-elle. Il faut de la bonne matière première, c’est-à-dire de la bonne porcelaine. » Marie-Paule fait venir la sienne de Limoges. Ses assiettes, une fois peintes, sont cuites 12 heures dans un four qui va jusqu’à 1 200 °C, « au prix de l’électricité de Rangi », s’amuse-t-elle à préciser.
Marie-Paule est l’épouse du médecin de l’atoll. Après plus de 11 années passées en Polynésie, ils ont décidé de retourner en métropole pour voir grandir leurs petits-enfants. Si l’île va manquer à l’artiste-peintre, elle va manquer « encore plus à mon mari », confie-t-elle dans un sourire. « Il aime ce qu’il fait, il aime les gens ici, il va beaucoup pleurer je pense… »
Le départ de l’artiste est prévu fin octobre. Elle quittera le fenua avec un pincement au cœur, mais surtout le regret de ne pas avoir réussi à communiquer sa passion à un Polynésien.
Rédaction Web, avec André et Ingrid Vohi