Les huit danseurs s’envoleront fin Mars pour la France pour une sélection à Orléans, le 2 avril. Les dix meilleurs groupes retenus s’affronteront en finale à Paris le 3 juin, et les trois meilleurs partiront pour Las Vegas.
Petit obstacle à cet avenir prometteur, le manque de finance, comme nous explique Atéliana Riuz danseuse des All In One. « On aimerait avoir des sponsors ou des dons financiers de la part de particuliers, d’entreprises etc… Tous les dons seront les bienvenus. Si les sponsors le veulent, on est prêts à porter leur marque sur nos vêtements ou bien faire des shows gratuits. »
Pour la première étape, à savoir le déplacement en métropole, les frais de déplacement se portent à 2 400 000 fcfp puisque huit personnes feront le déplacement. Concernant le logement, Atéliana espère pouvoir contacter des Tahitiens vivant en France pour voir si il y a moyen de se faire héberger.
il est évident qu’à la vue des dates de départ, l’argent pour le voyage est ce qu’il y a de plus urgent, ceci afin de réserver les billets d’avion. Pour l’hébergement, « cela peut encore attendre fin février, début mars. »
Bien qu’ils aient déposer un dossier auprès de la compagnie au tiare, celui-ci n’est pas encore passé entre les mains des décideurs. « Si le président du Pays nous entend, on aurait bien besoin d’aide » déclare Atéliana avec un sourire auquel on ne peut rien refuser.
Petit obstacle à cet avenir prometteur, le manque de finance, comme nous explique Atéliana Riuz danseuse des All In One. « On aimerait avoir des sponsors ou des dons financiers de la part de particuliers, d’entreprises etc… Tous les dons seront les bienvenus. Si les sponsors le veulent, on est prêts à porter leur marque sur nos vêtements ou bien faire des shows gratuits. »
Pour la première étape, à savoir le déplacement en métropole, les frais de déplacement se portent à 2 400 000 fcfp puisque huit personnes feront le déplacement. Concernant le logement, Atéliana espère pouvoir contacter des Tahitiens vivant en France pour voir si il y a moyen de se faire héberger.
il est évident qu’à la vue des dates de départ, l’argent pour le voyage est ce qu’il y a de plus urgent, ceci afin de réserver les billets d’avion. Pour l’hébergement, « cela peut encore attendre fin février, début mars. »
Bien qu’ils aient déposer un dossier auprès de la compagnie au tiare, celui-ci n’est pas encore passé entre les mains des décideurs. « Si le président du Pays nous entend, on aurait bien besoin d’aide » déclare Atéliana avec un sourire auquel on ne peut rien refuser.
Rédaction Web avec Mata Ihorai
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