Will Itaetetaa, électricien, explique :
« Nous attentons le signal pour l’animation. »
Une trentaine de techniciens est présente au stade Pater ce samedi pour la tentative de record du monde ukulele. Electricité, son, lumière : les professionnels s’occupent de ces différents éléments.
Habitués des grands événements comme le Heiva, ils ont su gérer le stress et les aléas d’une délocalisation. L’électricien reprend :
« La principale difficulté était le réseau internet. Mais finalement, tout s’est arrangé. »
L’autre aspect primordial de cette installation hors norme est la sécurité. Les professionnels ont fait attention à tout.
Tous les câbles ont été habillés. Aucun joueur de ukulele ne pourra s’y prendre les pieds.
« Tout le monde peut marcher dessus en toute tranquillité. Tout a été isolé. Et en cas de mauvais temps, ce n’est pas grave. Il n’y aura pas d’accident. »
En face de lui, les musiciens montent sur scène. Il est temps de régler les derniers détails sonores. Les techniciens retrouvent leur poste. Chacune sait ce qu’il a à faire. L’organisation est millimétrée.
« Il faut faire le dernier sound check pour chaque artiste. Et après… »
Après, la fête pourra commencer.