Résultat, les carnets de 340 personnes de toute la Polynésie, âgés de 4 à 88 ans ont été choisi pour être publiés dont une 15ène en langue tahitienne.
Pas de censure sur l’orthographe ou la syntaxe, pas de jugement, en toute intimité, grâce à ce recueil les écrivains ont pu coucher leur pensée de façon anonyme. C’est tout l’objectif de cette action inspirée des cahiers « Le dire pour agir » du secours populaire :
Humour, tendresse ou encore nostalgie, chacun a donc pu exprimer ses sentiments librement sur sa vie, ou la vie au fenua.
Le reportage de Sophie Guébel