La distance… une condition incontournable pour l’observation des cétacés. L’association de protection des mammifères marins reçoit régulièrement des signalement d’urgence. Mata Tohora rappelle régulièrement les règles à respecter. Mais parfois, la sensibilisation ne suffit pas. « Comme tous les jours, nous étions sur l’eau entre Paea et Mahina : des baleines encore trop dérangées, malgré toutes ces informations… surtout dès que nous quittons une zone pour rejoindre d’autres baleines. Il semble donc que la sensibilisation ne suffit plus dans certains cas. Notre rôle d’information atteint ses limites dans ces cas précis », écrivait samedi l’association.
Ce dimanche, Mata Tohora appelle les plaisanciers à réduire leur vitesse. Elle déconseille la mise à l’eau et le whale-watching dans le lagin, les passes et le chenal pour limiter le stress et les risques ( panique, collisions, séparation maman-baleineau, pousser vers les patates coralliennes, échouages dans les récifs, etc).