« Profiter de son nom pour se faire un nom », c’est la devise de ce rassemblement annuel, organisé dans une ville différente chaque année, dont le but est de faire la promotion touristique et culturelle des communes en alliant burlesque et traditions régionales. L’événement est articulé autour d’un grand marché des terroirs propice à faire notamment la promotion des gastronomies locales.
Ce rassemblement se veut surtout une fête populaire ponctuée d’animations humoristiques en rapport avec le nom des communes : 26 délégations, soit plus de 750 représentants, se rendront à Marans pour y faire rire les quelque 10 000 visiteurs attendus.
Dimanche lors de la grande parade, ces représentants rivaliseront de fantaisie dans leurs costumes et accessoires évoquant le nom de leur commune, et le « défi des maires », tenu secret, prouvera l’implication des édiles des communes. Lors de précédents rassemblements, ils étaient invités à façonner une Marianne en terre glaise ou construire une mairie miniature avec planches et clous.
Ce groupement de communes aux noms burlesque est né en 2003 en Haute-Garonne, lorsque ses deux initiateurs avaient décidé de trouver un lieu de résidence à deux personnages imaginaires du folklore occitan, Catinou et Jacouti. C’est un lieu-dit de Saint-Lys, Minjocebos (« mangeur d’oignon » en Occitan) qui avait été choisi.
« Chaque année, pour la fête de Catinou et Jacouti, on invitait des communes aux noms cocasses et après avoir invité le maire de Clochemerle, ça ne s’invente pas, est venue l’idée de regrouper tous ces noms burlesques de France », a expliqué à l’AFP Patrick Lasseube, président-fondateur du Groupement national des communes aux noms burlesques, pittoresques ou chantants.
Selon lui, « sur les 36 000 communes de France il en existe au moins 3 à 400 qui portent des noms burlesques ». Mais « il faut que les communes elles-mêmes soient demandeuses de rejoindre le groupement, en ayant une démarche positive et motivée », dit-il. Car le groupement entend « prendre le contre-pied de ce qui est arrivé à Montcuq », village du Lot passé à la postérité après un sketch de Daniel Prévost pour l’émission « Le Petit rapporteur », pour faire en sorte que les communes « rient d’elles-mêmes » pour ne pas être « la risée des autres ».
Le groupement comptera prochainement un 39e adhérent, la commune champenoise de Trécon, et organisera ses prochains rassemblements à Folles (Haute-Vienne) en 2017 et à Monteton (Lot-et-Garonne) en 2018.
Ce rassemblement se veut surtout une fête populaire ponctuée d’animations humoristiques en rapport avec le nom des communes : 26 délégations, soit plus de 750 représentants, se rendront à Marans pour y faire rire les quelque 10 000 visiteurs attendus.
Dimanche lors de la grande parade, ces représentants rivaliseront de fantaisie dans leurs costumes et accessoires évoquant le nom de leur commune, et le « défi des maires », tenu secret, prouvera l’implication des édiles des communes. Lors de précédents rassemblements, ils étaient invités à façonner une Marianne en terre glaise ou construire une mairie miniature avec planches et clous.
Ce groupement de communes aux noms burlesque est né en 2003 en Haute-Garonne, lorsque ses deux initiateurs avaient décidé de trouver un lieu de résidence à deux personnages imaginaires du folklore occitan, Catinou et Jacouti. C’est un lieu-dit de Saint-Lys, Minjocebos (« mangeur d’oignon » en Occitan) qui avait été choisi.
« Chaque année, pour la fête de Catinou et Jacouti, on invitait des communes aux noms cocasses et après avoir invité le maire de Clochemerle, ça ne s’invente pas, est venue l’idée de regrouper tous ces noms burlesques de France », a expliqué à l’AFP Patrick Lasseube, président-fondateur du Groupement national des communes aux noms burlesques, pittoresques ou chantants.
Selon lui, « sur les 36 000 communes de France il en existe au moins 3 à 400 qui portent des noms burlesques ». Mais « il faut que les communes elles-mêmes soient demandeuses de rejoindre le groupement, en ayant une démarche positive et motivée », dit-il. Car le groupement entend « prendre le contre-pied de ce qui est arrivé à Montcuq », village du Lot passé à la postérité après un sketch de Daniel Prévost pour l’émission « Le Petit rapporteur », pour faire en sorte que les communes « rient d’elles-mêmes » pour ne pas être « la risée des autres ».
Le groupement comptera prochainement un 39e adhérent, la commune champenoise de Trécon, et organisera ses prochains rassemblements à Folles (Haute-Vienne) en 2017 et à Monteton (Lot-et-Garonne) en 2018.
AFP