La semaine du micro-crédit touche à sa fin. Pour de jeunes entrepreneurs, le micro-crédit s’est révélé salvateur. TNTV vous propose le portrait d’un jeune Polynésien en plein envol professionnel.
Après 5 ans dans l’enseignement, Matairea, 31 ans, diplômé en psychologie et sciences de l’éducation, fait un virage à 180°! Avec l’aide de l’Adie (Association d’aide aux petites et moyennes entreprises), il lance sa marque : Nesian.
Le concept est né au mois d’avril à Raiatea. Il a été créé par ce jeune Polynésien parti suivre des études en métropole.
Nesian, signifie îlien en grec. C’est un concept dans lequel tous les habitants des îles peuvent s’identifier. Et ça marche : les clients sont séduits!
Conception graphique, tests d’imprimerie, recherche de produits de qualité… Matairea et son ami mettent 3 mois pour créer une ligne de vêtements et d’accessoires. Sans l’aide de l’Adie, rien n’aurait été possible.
Autocollants, lycras, T-shirts et casquettes, à terme ce jeune chef d’entreprise souhaite produire tous ses produits en Polynésie française. Mais avant, il croise les doigts pour que la demande de CAE (Contrat d’aide à l’emploi) de son ami soit acceptée.
Dans deux semaines, ces deux jeunes partent à Raiatea promouvoir leur marque lors du festival de la glisse.
Après 5 ans dans l’enseignement, Matairea, 31 ans, diplômé en psychologie et sciences de l’éducation, fait un virage à 180°! Avec l’aide de l’Adie (Association d’aide aux petites et moyennes entreprises), il lance sa marque : Nesian.
Le concept est né au mois d’avril à Raiatea. Il a été créé par ce jeune Polynésien parti suivre des études en métropole.
Nesian, signifie îlien en grec. C’est un concept dans lequel tous les habitants des îles peuvent s’identifier. Et ça marche : les clients sont séduits!
Conception graphique, tests d’imprimerie, recherche de produits de qualité… Matairea et son ami mettent 3 mois pour créer une ligne de vêtements et d’accessoires. Sans l’aide de l’Adie, rien n’aurait été possible.
Autocollants, lycras, T-shirts et casquettes, à terme ce jeune chef d’entreprise souhaite produire tous ses produits en Polynésie française. Mais avant, il croise les doigts pour que la demande de CAE (Contrat d’aide à l’emploi) de son ami soit acceptée.
Dans deux semaines, ces deux jeunes partent à Raiatea promouvoir leur marque lors du festival de la glisse.