Pour Oscar, quelqu’un qui veut devenir pilote d’avion peut commencer par apprendre sur un simulateur de vol avant de s’inscrire à un aéroclub, car « on n’est pas là pour remplacer les aéroclubs« , et pourquoi pas poursuivre ses études en France.
Te Ra’i Maohi ne rassemble pas uniquement des Saint Exupéry en devenir. Parmi ses membres, si il y a certes des élèves pilotes, il y a aussi des pilotes confirmés dont certains travaillent pour les compagnies aériennes locales.
Parmi les aspirants pilotes, Ariitea souhaite en faire son métier. Par manque de finances, il commence par le simulateur, mais compte travailler pour pouvoir se payer des cours et passer le brevet et pourquoi pas « travailler dans une petite compagnie aérienne comme Air Archipels et par la suite intégrer Air Tahiti ou Air Tahiti Nui ». De son côté, Shennon, veut devenir commandant de bord. Pour cela, elle envisage d’entrer dans l’armée de l’air, ce qui pourrait lui ouvrir les portes vers le métier auquel elle aspire.