« La PSG, ce n’est pas une décision politique », pour Olivier Kressman

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Publié le 15/11/2017 à 16:00 - Mise à jour le 15/11/2017 à 16:00

Le texte de la réforme de la protection sociale généralisée passe mal auprès des syndicats. Il ne reflète pas les travaux qu’ils ont menés en 2015 et 2016. Beaucoup de points ont disparu comme la fiscalité au premier franc pour résorber le déficit chronique de la PSG.
A la place : une augmentation de 2% des cotisations ou encore le rallongement de la retraite qui passe de 60 ans aujourd’hui à 62 ans.

Pour les représentants, la réforme de la PSG est un sujet qui concerne tout le monde. « La PSG, ce n’est pas une décision politique, c’est une décision de la population. Nous représentons une frange de la population qu’on finance largement aujourd’hui sur la PSG. Pour nous, c’est un sujet global. On est dans de l’intérêt général et je resterai sur cette dimension là », lance Olivier Kressman, le patron du Medef Polynésie. 

Pour le syndicaliste Ronald Terorotua, « tant que le gouvernement, quel qu’il soit, ne trouvera pas un moyen pour retrouver l’économie de se pays, il est clair que ce qu’ils sont en train de proposer ne tiendra pas d’ici 5 ans, 10 ans. Il faudrait qu’un gouvernement soit beaucoup plus intelligent demain pour retrouver l’économie dans ce pays. » 

Rédaction web 

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