« C’est véritablement une marche pour la non-violence. Ce n’est pas une marche pour Sandy. Sandy a eu tous les hommages (…) J’ai été très touché par les témoignages de sympathie. Aujourd’hui, je dis « stop » à cette violence, toute forme de violence : l’enfant qui est battu, la jeune fille qui est violée, toute forme de violence », a témoigné Stanley Ellacott, le père de Sandy, victime d’une agression mortelle à Bora Bora.
« Je sais qu’il y a des associations qui sont engagées. Il y a eu quelques marches qui se sont faites. Aujourd’hui ce n’est pas parce que c’était mon enfant, parce que j’ai une certaine notoriété, loin de là. J’ai une pensée toute particulière pour tous les gens qui ont subi ce sort, des séquelles de la violence, voire même des drames. Je suis persuadé qu’aujourd’hui c’est pour eux aussi, pour tout le monde. On ne peut plus vivre comme ça », a-t-il ajouté, marchant en tête de la foule.
Des marches blanches ont aussi mobilisé quelques centaines de personnes sur la presqu’île de Tahiti, à Bora Bora et aux Tuamotu.