La ministre en charge de la Recherche, Tea Frogier, et le Dr Patrick Howell, ont rencontré, lundi en fin de journée, des experts de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), actuellement en mission en Polynésie française, à l’occasion de l’atelier régional sur la ciguatéra qui se déroule depuis le début du mois à l’Institut Louis Malardé.
Ce séminaire est organisé dans le cadre du programme de l’AIEA RAS/7/026 « Supporting the use of receptor binding assay (RBA) to reduce the adverse impacts of harmful algal toxins on seafood safety”. Il réunit 17 participants, parmi lesquels 4 experts et officiels de l’AIEA, représentant 10 pays de la région Asie/Pacifique (Etats-Unis, Chine, Indonésie, Malaisie, îles Marshall, Oman, Pakistan, Philippines, Thaïlande, Vietnam, Wallis-et-Futuna, Polynésie).
Ce séminaire a pour objectif d’améliorer la surveillance et la gestion du risque ciguatérique dans les pays concernés, grâce à une initiation aux protocoles techniques de base (collecte des échantillons d’algues et de poissons, isolement et identification des micro-algues ciguatérigènes, cultures in vitro, extraction des toxines, tests de détection, etc.), en vue d’une standardisation inter-régionale des méthodes de surveillance.
La venue de ces experts permettra de reformater le projet RAS/7/026 qui, à la faveur de financements supplémentaires, gagne ainsi en ampleur. Il s’agit pour l’Institut Louis Malardé d’échanger avec des experts internationaux sur un domaine d’expertise pour lequel il est reconnu depuis maintenant cinquante ans.
Ce séminaire est organisé dans le cadre du programme de l’AIEA RAS/7/026 « Supporting the use of receptor binding assay (RBA) to reduce the adverse impacts of harmful algal toxins on seafood safety”. Il réunit 17 participants, parmi lesquels 4 experts et officiels de l’AIEA, représentant 10 pays de la région Asie/Pacifique (Etats-Unis, Chine, Indonésie, Malaisie, îles Marshall, Oman, Pakistan, Philippines, Thaïlande, Vietnam, Wallis-et-Futuna, Polynésie).
Ce séminaire a pour objectif d’améliorer la surveillance et la gestion du risque ciguatérique dans les pays concernés, grâce à une initiation aux protocoles techniques de base (collecte des échantillons d’algues et de poissons, isolement et identification des micro-algues ciguatérigènes, cultures in vitro, extraction des toxines, tests de détection, etc.), en vue d’une standardisation inter-régionale des méthodes de surveillance.
La venue de ces experts permettra de reformater le projet RAS/7/026 qui, à la faveur de financements supplémentaires, gagne ainsi en ampleur. Il s’agit pour l’Institut Louis Malardé d’échanger avec des experts internationaux sur un domaine d’expertise pour lequel il est reconnu depuis maintenant cinquante ans.