Moins d’un an après la destruction de la salle Aorai Tini Hau, le projet de parc paysager se concrétise. Ce mardi, la première pierre a été posée.
L’aménagement du parc prévoit un espace paysager arboré et fleuri, une tribune en bord de mer, des installations de sanitaires/douches publiques, des équipements d’activités sportives (une aire de musculation, un terrain de beach-soccer, un parcours santé et un centre pour les sports nautiques), une aire de jeux pour les enfants et des infrastructures d’activités culturelles et de détente avec la rénovation de la salle polyvalente Fare Toa Maehaa et la mise en place de toiles tendues sur le littoral.
L’aménagement du parc prévoit un espace paysager arboré et fleuri, une tribune en bord de mer, des installations de sanitaires/douches publiques, des équipements d’activités sportives (une aire de musculation, un terrain de beach-soccer, un parcours santé et un centre pour les sports nautiques), une aire de jeux pour les enfants et des infrastructures d’activités culturelles et de détente avec la rénovation de la salle polyvalente Fare Toa Maehaa et la mise en place de toiles tendues sur le littoral.
Des premiers travaux de déconstruction/désamiantage de la salle polyvalente Aorai Tini Hau et du Fare Hotu, ont été réalisés au mois de février pour libérer l’emprise foncière et permettre l’organisation du championnat du monde longue distance de va’a en juin dernier. Entre-temps, les études de conception du parc ont été menées par le groupement de maîtrise d’œuvre l’architecte Yohann Florentin / BET Luseo Pacific avec l’obtention du permis de travaux immobiliers le 31 octobre dernier.
Le parc a été conçu avec pour ligne directrice un trait d’union entre la mer avec vue sur l’océan et la terre avec la vue sur le diadème. Suite à un appel d’offres public réalisé en octobre 2016 selon un allotissement en 16 lots, ce sont 14 entreprises de toutes les tailles qui œuvrent sur le parc depuis le 22 janvier dernier, soit plus d’une quarantaine d’ouvriers.
Les travaux se dérouleront en deux phases. La première, en cours, avec la réalisation des travaux de terrassement – VRD, la construction des sanitaires publics, du centre nautique et de la rénovation du Fare Toa Maehaa, jusqu’à mi-juin 2018. La seconde avec les aménagements paysagers restants, la mise en place des aires de loisirs et sportives.
Entre-temps, le comité Tahiti Va’a 2018 occupera le site pour préparer et organiser le championnat du monde de va’a de vitesse qui se déroulera du 16 au 26 juillet 2018. La seconde phase de travaux du parc reprendra en août 2018 pour se terminer en décembre 2018. Le coût global de l’opération, de 500 millions Fcfp, sera pris en charge par la Polynésie française. A terme, cette réalisation permettra également de rendre à la population l’accès à la mer.
Le parc a été conçu avec pour ligne directrice un trait d’union entre la mer avec vue sur l’océan et la terre avec la vue sur le diadème. Suite à un appel d’offres public réalisé en octobre 2016 selon un allotissement en 16 lots, ce sont 14 entreprises de toutes les tailles qui œuvrent sur le parc depuis le 22 janvier dernier, soit plus d’une quarantaine d’ouvriers.
Les travaux se dérouleront en deux phases. La première, en cours, avec la réalisation des travaux de terrassement – VRD, la construction des sanitaires publics, du centre nautique et de la rénovation du Fare Toa Maehaa, jusqu’à mi-juin 2018. La seconde avec les aménagements paysagers restants, la mise en place des aires de loisirs et sportives.
Entre-temps, le comité Tahiti Va’a 2018 occupera le site pour préparer et organiser le championnat du monde de va’a de vitesse qui se déroulera du 16 au 26 juillet 2018. La seconde phase de travaux du parc reprendra en août 2018 pour se terminer en décembre 2018. Le coût global de l’opération, de 500 millions Fcfp, sera pris en charge par la Polynésie française. A terme, cette réalisation permettra également de rendre à la population l’accès à la mer.
Rédaction web avec communiqué