Saisi par l’avocat de la défense, Me Stanley Cross, le juge des référés du tribunal du travail a entendu ce lundi les plaidoiries des deux parties. Me Cross a ainsi questionné la validité des licenciements fondés sur des “témoignages anonymes”.
Invoquant l’article 6 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’Homme, il a demandé la “nullité de licenciement” pour “violation des libertés fondamentales”, s’appuyant ainsi sur la jurisprudence de la chambre sociale de la Cour de cassation.
L’affaire a été renvoyée au 25 février.