Onze ans déjà que Mate Michalik se consacre à sa passion. Cet ancien pyrograveur, secrétaire de l’association Polynesia Tatau des artistes tatoueurs de Polynésie, pratique aussi bien le tatouage à la machine rotative que le tatouage traditionnel au peigne. Nous l’avons rencontré il y a quelques semaines, alors qu’il revenait tout juste de Calgary, au Canada, où s’est tenue l’une des plus grosses conventions de tatouage d’Amérique du nord, le Tattoo & Arts Festival organisé par Steve Pearce.
« C’est une convention où on est invité par l’organisateur lui-même et qu’on ne fait pas sans avoir obtenu un permis de travail, confie le tatoueur. La condition pour participé à cet événement est d’avoir été au moins une fois lauréat dans les conventions de Polynesia Tatau. »
Participer à ce genre d’événement, c’est donc d’abord une reconnaissance, mais c’est aussi un moyen de faire progresser son art en rencontrant les meilleurs tatoueurs avec chacun un style différent.
« Le travail du réalisme, le travail géométrique, japonais… tous les styles de tatouage, on les retrouve là-bas, poursuit Mate. Ça nous permet aussi de se mettre à la page avec le matériel qui nous est proposé là-bas, parce qu’ils sont quand même plus en avance… »
Primé en catégorie traditionnelle en 2016, cette année Mate a fait le choix de la machine. Il était accompagné à Calgary de Manureva Poura, Teata Vauche, Tautu Ellis ou encore Tana Tokoragi qui a remporté cette année le prix du « meilleur tribal culturel géométrique ». Les tatoueurs du fenua ont encore une fois dignement représenté la Polynésie, une Polynésie qui sera à nouveau à l’honneur du 9 au 11 novembre, lors de la convention Polynesia Tatau qui se tient à Arue.
« C’est une convention où on est invité par l’organisateur lui-même et qu’on ne fait pas sans avoir obtenu un permis de travail, confie le tatoueur. La condition pour participé à cet événement est d’avoir été au moins une fois lauréat dans les conventions de Polynesia Tatau. »
Participer à ce genre d’événement, c’est donc d’abord une reconnaissance, mais c’est aussi un moyen de faire progresser son art en rencontrant les meilleurs tatoueurs avec chacun un style différent.
« Le travail du réalisme, le travail géométrique, japonais… tous les styles de tatouage, on les retrouve là-bas, poursuit Mate. Ça nous permet aussi de se mettre à la page avec le matériel qui nous est proposé là-bas, parce qu’ils sont quand même plus en avance… »
Primé en catégorie traditionnelle en 2016, cette année Mate a fait le choix de la machine. Il était accompagné à Calgary de Manureva Poura, Teata Vauche, Tautu Ellis ou encore Tana Tokoragi qui a remporté cette année le prix du « meilleur tribal culturel géométrique ». Les tatoueurs du fenua ont encore une fois dignement représenté la Polynésie, une Polynésie qui sera à nouveau à l’honneur du 9 au 11 novembre, lors de la convention Polynesia Tatau qui se tient à Arue.
Rédaction web avec Naea Bennett