C’est la dernière ligne droite pour les collégiens de Faaroa. Ce samedi 9 mars, ils dévoileront leur spectacle sur la scène de To’ata à l’occasion du Heiva Taure’a.
Il aura fallu sept mois de travail acharné pour monter ce spectacle sur le grand navigateur Tupaia. Rien n’échappe aux enseignants, tout est passé en revu pour éviter toute entorse au règlement, car il est « assez drastique au niveau du timing, de la mise en scène, des chorégraphies », explique Titaua Raapoto, leur professeur. « Tout doit être expliqué, mais surtout il fallait placer tout ce travail dans un cadre institutionnel. »
Pour leur ultime répétition, il fallait coordonner les déplacements avec la musique. La réussite des différents tableaux repose sur les épaules de Tefaatau, le jeune chef d’orchestre. « Car si je me trompe, il y aura des erreurs dans l’organisation de notre thème… », confie-t-il.
Les costumes et les accessoires ont également été réalisés par les élèves, qui ont dû sacrifier leurs mercredis après-midi, leurs week-ends et leurs vacances.
Il aura fallu sept mois de travail acharné pour monter ce spectacle sur le grand navigateur Tupaia. Rien n’échappe aux enseignants, tout est passé en revu pour éviter toute entorse au règlement, car il est « assez drastique au niveau du timing, de la mise en scène, des chorégraphies », explique Titaua Raapoto, leur professeur. « Tout doit être expliqué, mais surtout il fallait placer tout ce travail dans un cadre institutionnel. »
Pour leur ultime répétition, il fallait coordonner les déplacements avec la musique. La réussite des différents tableaux repose sur les épaules de Tefaatau, le jeune chef d’orchestre. « Car si je me trompe, il y aura des erreurs dans l’organisation de notre thème… », confie-t-il.
Les costumes et les accessoires ont également été réalisés par les élèves, qui ont dû sacrifier leurs mercredis après-midi, leurs week-ends et leurs vacances.
Mais qu’à cela ne tienne, les 45 artistes, qui rejoindront Tahiti ce mercredi, représenteront haut les couleurs de leur établissement pour ce grand rendez-vous culturel.
Rédaction web avec Jessica Doucet-Tuahu