De nombreuses problématiques sont communes. « Nous sommes venus pour signer une convention entre la Polynésie française, Wallis-et-Futuna, et la Nouvelle Calédonie. Elle a pour objet de traiter de sujets communs et celui que nous avons retenu pour cette mandature est celui de la montée des eaux dû au réchauffement de la planète. Elle a pour conséquence que des populations vont se retrouver très rapidement en danger. Notre objectif c’est de trouver des solutions propres à chaque pays pour changer d’endroit et transporter la population en lieux sûrs », explique Daniel Cornaille, président du CESE de la Nouvelle-Calédonie.
Tous les membres présents espèrent « mutualiser les moyens, regrouper les compétences et être plus efficace ». Des tables rondes débutent mardi pour échanger sur les essais nucléaires, l’océan et la société polynésienne de 2050.