Le président de la Polynésie française, Edouard Fritch, entouré du Haut-commissaire, Lionel Beffre, ainsi que plusieurs membres du gouvernement, a assisté mardi matin, à l’ouverture officielle de la 13ème édition du Festival International du Film Océanien (Fifo), dans les jardins de la maison de Culture.
Dans son discours d’ouverture, le président Fritch a une fois de plus apporté son soutien à la manifestation, saluant notamment son succès, auprès de la jeunesse et du public Polynésien. Il a également félicité les deux pères fondateurs du Fifo, qui ont su, avec toute l’équipe organisatrice, donner à ce festival une identité océanienne. « Le Fifo, ce n’est pas juste un festival de documentaires océaniens. C’est aussi le symbole d’une identité, un lieu de débats, de créations, de projets. Ce festival, à l’image de ses deux pères fondateurs, WallèsKotra et Heremoana Maamaatuiahutapu, est empreint de convivialité et de simplicité, mais aussi d’efficacité », a souligné le président.
Pour cette 13éme édition du Fifo, Abderrahmane Sissako sera le président du Jury. La sélection officielle présente 29 documentaires, dont 4 productions polynésiennes. Des ateliers, des débats, des rencontres professionnelles seront organisées durant toute la semaine, jusqu’à la soirée de remise des prix qui se déroulera le 05 février. Comme chaque année, un public nombreux est attendu, notamment scolaire.
Depuis sa création, le festival est devenu une manifestation culturelle majeure de la Polynésie française, après le Heiva. L’engouement des polynésiens pour le FIFO ne se dément pas. « Jadis nos pirogues nous réunissaient, mais aujourd’hui, c’est la communication par l’image qui nous rassemble. C’est l’objet du FIFO depuis sa création », a mis en exergue Edouard Fritch.
Edouard Fritch a également évoqué l’actuel dispositif du SCAN, qui soutient la filière audiovisuelle polynésienne. « Les réflexions des rencontres numériques ont accompagné la mise en œuvre du câble, qui bientôt permettra aux Marquises et aux Tuamotu d’être enfin raccordés, » a rajouté le président avant de saluer l’ensemble des invités du festival, venus de la région et de métropole.
Dans son discours d’ouverture, le président Fritch a une fois de plus apporté son soutien à la manifestation, saluant notamment son succès, auprès de la jeunesse et du public Polynésien. Il a également félicité les deux pères fondateurs du Fifo, qui ont su, avec toute l’équipe organisatrice, donner à ce festival une identité océanienne. « Le Fifo, ce n’est pas juste un festival de documentaires océaniens. C’est aussi le symbole d’une identité, un lieu de débats, de créations, de projets. Ce festival, à l’image de ses deux pères fondateurs, WallèsKotra et Heremoana Maamaatuiahutapu, est empreint de convivialité et de simplicité, mais aussi d’efficacité », a souligné le président.
Pour cette 13éme édition du Fifo, Abderrahmane Sissako sera le président du Jury. La sélection officielle présente 29 documentaires, dont 4 productions polynésiennes. Des ateliers, des débats, des rencontres professionnelles seront organisées durant toute la semaine, jusqu’à la soirée de remise des prix qui se déroulera le 05 février. Comme chaque année, un public nombreux est attendu, notamment scolaire.
Depuis sa création, le festival est devenu une manifestation culturelle majeure de la Polynésie française, après le Heiva. L’engouement des polynésiens pour le FIFO ne se dément pas. « Jadis nos pirogues nous réunissaient, mais aujourd’hui, c’est la communication par l’image qui nous rassemble. C’est l’objet du FIFO depuis sa création », a mis en exergue Edouard Fritch.
Edouard Fritch a également évoqué l’actuel dispositif du SCAN, qui soutient la filière audiovisuelle polynésienne. « Les réflexions des rencontres numériques ont accompagné la mise en œuvre du câble, qui bientôt permettra aux Marquises et aux Tuamotu d’être enfin raccordés, » a rajouté le président avant de saluer l’ensemble des invités du festival, venus de la région et de métropole.
(Communiqué de presse)